Glossaire bouddhique.
Ce glossaire n'a pas pour but de présenter l'exhaustivité des termes du bouddhisme : il ne cherche pas à remplacer un dictionnaire - ni a fortiori un enseignant bien sûr. Il présente un certain nombre de concepts importants du bouddhisme, ainsi que des termes plus spécifiques de l'approche qu'a Sangharakshita du bouddhisme - avec, le cas échéant, des liens vers d'autres pages de ce site.
Sauf mention autre, les termes en italiques sont en sanskrit.
- Abhidharma (en pâli : abhidhamma). Un des trois groupes principaux de la littérature bouddhique canonique, dans lequel sont systématisés les enseignements du Bouddha et les analyses des phénomènes de l’esprit.
- aller en refuge. Voir refuge.
- Amitabha. Bouddha transcendant de la compassion et de l’amour, jouant un rôle proéminent dans le bouddhisme japonais.
- arhat (en pâli : arahant, arahat). Pratiquant idéal éveillé du bouddhisme ancien. Le Bouddha historique est aussi souvent décrit comme étant un arhat.
- Avalokiteshvara. Bodhisattva transcendant incarnant la compassion. Il a plusieurs représentations, par exemple avec 4 ou avec mille bras, afin de pouvoir aider de très nombreux êtres.
- bodhicitta. Littéralement « esprit, cœur ou volonté d’Éveil ». Le « désir du cœur » pour que toutes les formes de vie atteignent l’éveil. Ce désir ne repose pas sur des impulsions égoïstes, mais sur la compassion liée à une vision de la véritable nature des choses.
- bodhisattva (en pâli : bodhisatta). Littérallement « être (sattva) d'Éveil (bodhi) ». Pratiquant idéal du bouddhisme mahayana qui, selon la tradition, attend pour atteindre lui-même l'Éveil d'y avoir mené tous les êtres. L'idéal du bodhisattva insiste tout particulièrement sur la partie altruiste de la vie spirituelle. Enfin, dans les Jatakas, histoires racontant les vies précédentes du Bouddha historique, ce dernier est appelé bodhisatta.
- Bouddha. Dans le bouddhisme on ne trouve pas qu’un seul bouddha, on ne trouve pas que le seul fondateur de la tradition, le Bouddha Shakyamuni. « Bouddha » signifie « Éveillé », et un bouddha incarne l’Éveil sous une forme physique. Après la mort du Bouddha historique, d'autres formes de bouddhas et de bodhisattvas transcendants sont apparues, incarnant chacune différents aspects de l’Éveil.
- coproduction conditionnée. Enseignement central du Bouddha, selon lequel tout apparaît en dépendance de conditions, et cesse quand ces conditions cessent. Cette conditionnalité est à l’œuvre de deux façons : d’une part de manière cyclique, ce qui est illustré par la roue de la vie qui représente le cycle sans cesse récurrent de l’existence ; et d’autre part de manière progressive, en suivant ce que Sangharakshita appelle le chemin en spirale : en créant les conditions appropriées de notre développement, nous pouvons progresser sur ce chemin jusqu’à la libération finale, l’Éveil.
- dharma (en pâli : dhamma). Littéralement, « ce qui porte ; la loi ». Un mot aux nombreuses significations. C’est tout d’abord la « vérité » ou la « réalité supérieure » universelle. C’est aussi la somme des enseignements et des méthodes utilisés pour l’atteinte de l’Éveil, et qui permettent de voir, tels qu’ils sont, les « choses », les facteurs de l’existence ou les apparences. En particulier, les enseignements du Bouddha sont appelés le Dharma. Enfin, selon le Hinayana, les constituants de base, irréductibles, de la réalité sont aussi appelé des dharmas.
- dharmachari et dharmacharini : titres donnés respectivement aux hommes et aux femmes membres de l'Ordre bouddhiste Triratna. Ils signifient : « celui / celle qui chemine dans le Dharma ».
- dhyana (en pâli : jhana). État ou stade de conscience supérieure ou de méditation profonde. Il y a plusieurs dhyanas, décrits ici.
- esprit réactif – esprit créatif. Sangharakshita décrit deux modes de fonctionnement de l’esprit : ce dernier peut agir de façon soit « réactive », soit « créative ». Être réactif, c’est, en essence, être passif. Cela veut dire réagir automatiquement à tout stimulus qui nous touche. Cela correspond à la conditionnalité cyclique, qui mène à l’éternel retour dans la cycle de la Roue de la vie. Être créatif, en revanche, c’est agit de façon active et consciente, pour créer ou produire quelque chose qui n’existait pas auparavant, que ce soit une œuvre d’art, un état élevé de conscience, ou une manière d’être ou de communiquer, par exemple.
- Éveil. Le but de la voie bouddhique. Un état de sagesse parfaite et de compassion sans limites, qui se situe au-delà du temps et de l’espace, et dont il n’est pas possible de faire une description adéquate – bien qu’il y ait de nombreuses approches en ce sens : conceptuelles, symboliques, poétiques, imagées, positives, négatives, paradoxales, etc.
- évolution inférieure, évolution supérieure. Sangharakshita a plus d'une fois présenté le Dharma en termes d’évolution. Quoique « évolution supérieure » ne soit pas un terme bouddhique traditionnel, l’idée de développement spirituel en tant qu’évolution de la conscience est cohérente avec l’enseignement du Bouddha, et y est implicite.
La totalité du développement de la vie, des bouillonnements primitifs à ses origines jusqu’à la conscience suprêmement développée de l’esprit éveillé, peut être vue comme une longue évolution qui peut être divisée en deux parties, l’évolution inférieure et l’évolution supérieure. L’évolution inférieure se rattache aux processus de développement de la vie, de ses débuts jusqu’à l’émergence de la vie humaine. L’évolution supérieure commence avec un certain niveau de conscience de soi (ou conscience réflexive), et continue jusqu’à l’Éveil lui-même. L’évolution inférieure est le processus d’où nous provenons ; l’évolution supérieure couvre ce que nous pouvons devenir, si nous le souhaitons.
L’être humain individuel qui est pourvu d’un degré suffisant de conscience de soi est capable, s’il le souhaite, d’entreprendre la vie spirituelle, de s’embarquer dans le processus de l’évolution supérieure, de l’état dans lequel il se trouve jusqu’à l’Éveil lui-même. Ainsi, tandis que l’évolution inférieure est un processus biologique et collectif, l’évolution supérieure est une évolution de la conscience et ne peut être entreprise que suite à un choix individuel ; le progrès ne peut être que le résultat d’un effort individuel. L’évolution inférieure est du ressort de sciences telles que la physique, la biologie et la chimie, et l’évolution supérieure est du ressort de la psychologie, de la philosophie et de la religion.
- hinayana. Terme sous lequel le mahayana et d’autres écoles tardives du bouddhisme ont désigné le bouddhisme ancien, qu’ils voyaient comme un « petit véhicule » (ce que signifie « hinayana ») ne pouvant mener « que » à l’Éveil pour soi-même et non à l’Éveil pour le bénéfice de tous les êtres. En même temps, les exercices spirituels de cette phase du développement du bouddhisme étaient considérés comme une étape vers une pratique plus avancée. Le terme hinayana est considéré comme péjoratif par les tenants de l’école théravada, seule école restante d’un mouvement historique qui en a compté jusqu’à dix-huit (en lire plus sur le hinayana et les 3 yanas).
- joyaux. Voir refuge.
- karma (en pâli : kamma). Littérallement « action ». La loi du karma concerne le domaine de la conditionnalité appliqué à l’éthique, soulignant que toutes nos actions de corps, de parole et d'esprit ont des conséquences pour nous et pour les autres. Dans la mesure où nous nous comportons de manière habile et favorable (c'est-à-dire dans la mesure où nos états d'esprit à l'origine de nos actions sont basés sur la bienveillance, la générosité et la sagesse), notre expérience dans l’avenir sera plus heureuse et plus lumineuse. Dans la mesure où nous nous comportons de manière malhabile et défavorable (à partir d'états d'esprit basés sur l'aversion, l'avidité et l'ignorance), notre expérience dans l'avenir sera plus malheureuse et plus sombre. Ces effets ne se produisent ni en récompense ni en punition, mais simplement parce que le monde que nous connaissons autour de nous est un reflet de notre état d'être.Regardez cette vidéo si vous voulez mieux comprendre ce qu'est le karma dans le bouddhisme.
- mahayana (littéralement « grand véhicule » ou « grande voie »). Phase de développement du bouddhisme ayant pour but la libération de tous les êtres hors du cycle des existences. Son idéal est le bodhisattva, un être qui se parfait au fil d’un grand nombre de vies pour aider tous les êtres à atteindre l’Éveil (en lire plus sur le mahayana et les 3 yanas).
- méditation. Dans son sens le plus strict, la méditation est assimilée à l’expérience d’états de conscience supérieure, les dhyanas, qui sont le résultat d’exercices de méditation intensive et la marque d’une certaine unification de l’esprit. Dans un sens plus large, la méditation est un ensemble de pratiques et d’exercices de concentration, de développement des émotions positives, de travail avec les obstacles et les poisons mentaux, et de développement de la vue pénétrante dans la véritable nature des choses.
- metta (en sanskrit : maitri). Qualité primordiale de la pratique bouddhique, que l'on peut traduire par amour, bienveillance, bénévolence. Selon un discours du Bouddha appelé le Metta sutta, la metta correspond à un amour illimité et inconditionnel tel que celui d'une mère pour son seul enfant, mais étendu à tous les êtres sensibles. La metta peut être consciemment développée par des pratiques telles que la méditation du metta-bhavana. La metta est la base de trois autres émotions positives importantes, la compassion (karuna), la joie sympathique (mudita), et l'équanimité (upekkha).
- mudra. Littéralement « geste » ou « sceau ». Geste symbolique des mains fait durant un rituel, ou représenté iconographiquement sur les statues et images des bouddhas, bodhisattvas ou autres éminentes figures bouddhiques. Une mudra signifie l’expression, par le geste des mains jusqu’à l’extrémité des doigts - la plus grande extension de l'être physique - de ce qui a été intérieurement réalisé.
- nidana. Maillon ou lien individuel de la chaîne de conditionnalité, en particulier de la chaîne des douze maillons du cycle de l’existence conditionnée, décrite dans la roue de la vie. Il y a aussi douze autres nidanas « positifs », maillons du chemin en spirale menant à l'Éveil.
- nirvana. Voir Éveil.
- Noble chemin octuple (ou noble sentier octuple). La quatrième des Quatre nobles vérités ; la première des nombreuses descriptions faites par le Bouddha de la voie qui mène à l'Éveil.
- personne autonome. Sangharakshita utilise le terme anglais individual, que nous traduisons par « personne autonome », d’une façon particulière, non pas sociologique mais psychologique et spirituelle. Par « personne autonome », il entend une personne qui prend la responsabilité complète de sa vie et en particulier de son propre développement psychologique et spirituel. Ce développement passe avant tout par la prise de conscience de soi, sur la base de laquelle peuvent croître des qualités telles que l’attitude amicale, la gratitude et la bienveillance, ainsi qu’une maturité et une positivité émotionnelles, une confiance en soi et une capacité à l’empathie. En principe, avec ce développement, l’on devient de plus en plus désintéressé.
Sangharakshita appelle aussi true individual, ou « véritable personne autonome », celle chez qui ces qualités sont développées au plus haut point.
- poison mental. Aussi appelé impureté, souillure ou affliction mentale ; klesha, le mot sanskrit correspondant (en pâli : kilesa) est aussi traduit par passion. On trouve plusieurs listes de kleshas, la plus fréquente étant faite de l'avidité, de l'aversion, de l'illusion (ou ignorance), de l'orgueil, et de l'envie.
- prajña. Connaissance intuitive directe de vraie nature des choses. Cette connaissance naît habituellement de l’écoute ou de la lecture d’enseignements ou de textes bouddhiques, de la réflexion sur ceux-ci, et enfin de la méditation sur ceux-ci.
- Prajñaparamita. Littéralement « parachèvement ou perfection de la sagesse ». Vision intuitive directe et pénétrante de la véritable nature des choses, par laquelle est vaincue l’ignorance, la principale cause de la souffrance. Dans le bouddhisme tantrique, c’est aussi le nom d’une déité féminine, l’incarnation de la « perfection de la sagesse », qui est présentée comme la mère de tous les bouddhas.
- prise de refuge. Voir refuge.
- quatre nobles vérités. Voir ici.
- refuge. Les trois refuges, ou trois joyaux, sont les idéaux du bouddhisme : le Bouddha, le Dharma, la réalisation et l'enseignement du Bouddha, et la Sangha, la communaté de ceux qui pratiquent ; ce sont des refuges au-delà de la souffrance. « Aller en refuge » (une expression traditionnelle remontant au temps du Bouddha), c'est s'engager sur la voie du bouddhisme ; pour Sangharakshita, c'est « l'acte central et déterminant » de la vie bouddhiste, ce qui fait qu'une personne est bouddhiste, et c'est une chose que l'on fait sans cesse, à des niveaux toujours plus profonds. C'est pour cette description dynamique et continue de l'engagement - et aussi parce que c'est la traduction littérale de l'expression trouvée dans les textes bouddhiques - que Sangharakshita préfère parler d'« aller en refuge » plutôt que de « prendre refuge », ou de « prise de refuge », expressions utilisées par d'autres traditions.La primauté de l'aller en refuge est une des caractéristiques distinctives de la Communauté bouddhiste Triratna, pour laquelle l'engagement est primordial, et le style de vie vient en second.
- roue de la vie (bhava-chakra, littéralement « roue du devenir »). Représentation de l’ensemble des processus dans lesquels les êtres vivants, par avidité, aversion et illusion, tournent sans cesse, d’une vie à l’autre, en un cycle sans fin de conditions insatisfaisantes – un symbole, donc, de l’existence conditionnée (samsara). Les représentations de la roue de la vie contiennent notamment des images des six mondes (les mondes des devas, des asuras, des êtres humains, des animaux, des esprits affamés et des êtres en enfer) qui, ensemble, incarnent tous les états d’esprit dans lesquels peuvent se trouver les êtres non éveillés.
- samadhi. Terme à double signification. Le samadhi est, d'une part, la concentration dans le sens d’unification et d’intégration de toutes les énergies. D'autre part, le mot samadhi est associé à une vue pénétrante directe dans la véritable nature des choses, et donc à l’établissement dans l’état d’Éveil.
- samsara (en pâli et sanskrit). Littéralement « naviguer sur un flot ou sur un courant (de devenir) ». Dans les textes hindous anciens, cela signifie parcourir, ou passer à travers une succession d’états. Dans son usage bouddhique, ce mot en est venu à signifier la répétition perpétuelle des naissances et des morts dans les trois mondes et dans les six mondes de l’existence, marquée par la souffrance et l’insatisfaction (duhkha), répétition à laquelle il ne peut être mis fin que par l’atteinte de l’Éveil. Étant l’opposé du nirvana, le samsara est, du point de vue objectif, le conditionné (distinct de l’inconditionné), ou le mondain (distinct du transcendant) ; du point de vue subjectif, c’est l’asservissement, distinct de la libération : l’objet de la vie spirituelle est d’échapper aux liens du samsara, vers la liberté parfaite du nirvana.
Le samsara et le nirvana peuvent aussi être vus comme deux modes d’être possibles au sein de la même et unique réalité, le samsara étant le mode réactif, le nirvana le mode irréversiblement créatif. Le Hinayana tendait à parler en termes de deux états discrets et de passage d’un état à l’autre, d’un samsara réel à un nirvana réel, tandis que le Mahayana enseignait que le samsara et le nirvana sont des constructions de l’esprit, que la distinction entre les deux est de façon ultime une illusion, et que la libération consiste non pas à passer d’un état à l’autre mais à réaliser la non-différence essentielle entre les deux.
- souffrance. Souvent utilisé lorsque l'on parle de bouddhisme, ce terme n'est pas une traduction satisfaisante du terme traditionnel, duhkha (en pâli : dukkha). Ce dernier mot n’a en fait pas de traduction satisfaisante ; la plupart des mots modernes sont trop spécifiques, trop limités et souvent trop expressifs. Duhkha renvoie à ce qui est insatisfaisant et cause de la souffrance. Voir ici pour en lire plus.
- spirituel. Ce terme signifie pour Sangharakshita « concerné par le développement des états de conscience supérieurs », en particulier par la voie vers l’Éveil.
- soûtra (en pâli : sutta). Littéralement « fil (conducteur) » : discours du Bouddha.
- tantra. Littéralement « quelque chose de tissé ou d’élaboré ». Dans le bouddhisme, un tantra est un type particulier de discours ou de texte distinct de ce qui est plus communément appelé « soûtra ». Le tantrisme, le tantra, le tantrayana sont d’autres noms du vajrayana ou véhicule de diamant, le troisième des trois yanas du bouddhisme, car c’est le vajrayana qui est intimement associé à l’utilisation des tantras.
- transcendant (lokottara, en pâli : lokuttara). Relatif à une expérience allant au-delà du cycle mondain de la vie et de la mort (samsara), à l’expérience d’une personne noble, c’est-à-dire d’un pratiquant bouddhiste ayant une vision pénétrante de la véritable nature des choses et étant assuré d’atteindre la bouddhéité.
- vacuité (ou vide). Traduction habituelle du mot shunyata (en pâli : suññata). L’esprit éveillé est « vide » en ce sens qu’il est dépourvu de substance non changeante ou de soi. L’enseignement du Mahayana sur la shunyata est central et sa profondeur est présentée dans les soûtras de la Perfection de la sagesse. En simplifiant, cet enseignement insiste sur le fait que tous les dharmas (les constituants de base, irréductibles, de la réalité, selon le Hinayana) sont « vides », c’est-à-dire que tous les phénomènes, sans exception, personnes et choses, sont dépourvus de substance durable ou de soi indépendant ; ils apparaissant en dépendance de conditions et ne peuvent être décrits ni comme réellement existants, ni comme non-existants. Appliquée à la personnalité humaine, la vacuité devient la doctrine de l’anatman ou « non-soi ».
vajra (en tibétain : dorje). Littéralement, « diamant » ou « éclair ». Dans la mythologie indienne, le vajra représente le phénomène naturel de l’éclair et est manié par Indra, le roi des dieux. Il est similaire à l’éclair manié par Zeus, le roi des dieux de la mythologie grecque. Le vajra est aussi comme un diamant car il peut tout couper, tout en étant lui-même indestructible.
Dans la phase tantrique du bouddhisme, connue sous le nom de vajrayana, le vajra devint un symbole de la nature de la réalité, de la shunyata (Cf. vacuité, ci-dessus). La pratique consistant à préfixer les termes, les noms, les noms de lieux, etc., par vajra (comme vajracarya, vajracitta) représente la tentative consciente de reconnassance de l’aspect transcendant de tout phénomène. Le vajra est aussi très largement utilisé dans les rituels du tantra, et diverses figures de l’iconographie tantrique, les deux plus connues étant Vajrapani et Vajrasattva, sont représentées tenant ou maniant un vajra.
- vajrayana. Cf. tantra, ci-dessus. En lire plus sur le vajrayana et les 3 yanas.
© Centre bouddhiste Triratna de Paris, 2022.